samedi, janvier 24, 2009

Big up PBP (2)


(Pour ceux qui ne fouillent pas dans les commentaires et qui ont raté ça....)
(Entre nous, Clémence, je pense qu'on peut se lancer dans un nouveau projet genre "le recueil de poèmes pour vos animaux de compagnie" ! En plus on a déjà plein de photos...)

(Jérémie)

Hub,



De ton départ,

je ne me suis jamais remis

Mes yeux te cherchent,

sur cette étagère jaunie



Avec Alice,

tu as refait ta vie

Oubliés nos gueuletons,

nos douces fantaisies



Auprès de ta blonde,

de son regard conquis

n'oublie pas, s'il te plait,

ton copain Jérémie


(Clémence)

Bon, je me lance : je ne resterai pas muette comme une carpe face à ces loups de mers qui regardent mon Hubert avec des yeux de merlan frit. Ouvrez bien vos branchies, je souhaite que ce filet reste dans vos mémoires de poissons rouges : Hubert ne regrettera que moi !
Hubert, mon petit goujon, attrape la perche que je te tends : metthon le turbot et allons faire trempette ensemble au bar : un lieu tranquille où tes loches ne seront plus harenguées par de vilains maquereaux !
Et s’ils me traitent de morue, promis, je m’en vais bosser pour Armand Colin !


(Julien)

Aaah, Hubert... J'aimerais tant pouvoir me perdre à nouveau dans tes grands yeux mélancoliques. Le souvenir de nos caresses complices m'aide à vivre chaque jour.




(Clémence : la surenchère...)

Incroyable en effet, que ce déferlement !

Aucun mérite, pourtant, à de tels compliments,

car c'est dans le désir et mue par la passion,

que ma talentueuse plume (;-P) trouva l'inspiration.



Tu frétilles, mon Hubert, sensuel petit goujon,

De te savoir aimé par tous ces Apollons,

Et c'est nourri-logé par ta blonde Maman,

Que tu vis loin de moi, qui souffre cruellement.



Le vide de ton absence, tes multiples liaisons,

Ne me satisfont point, et me rendrent grognon.

Délaissée et jalouse, je dépéris grav'ment,

Avec pour seules joies les "bio" de grand-maman.



Je te le dis tout net, il faut que tu choisisses !

Entre Julien, Jérem, Clem ou alors Alice ?

Trop facile en effet de voguer comme tu l'fais,

Entre les coeurs ardents de tes fidèles laquais.



À cet ultimatum, réponds sans trop tarder,
Que nous soyons alors définitiv'ment fixés.

Opte pour le bon choix car de cela dépend,

Mon âme, mon salut... ma vie, tout simplement !






4 commentaires:

Anonyme a dit…

je propose la publication d'un recueil sur la vie d'hubert: 1ere bio animaliere, un concept porteur je pense!
biz
caro

Unknown a dit…

ahaha ! oui tu as vu ça !
déposons le brevet !! :-D
ça va toujours bien avec ta p'tite poulette?
des gros bisous à toute les 2 :-)

Anonyme a dit…

Comment vous dire ce que vos vers pour l'âme sont!

Jéré a dit…

Trop mignon !